Une tradition millénaire, aujourd’hui largement tombée en désuétude, fait pourtant la une des journaux en Chine. Quatre hommes ont été condamnés à des peines de 28 à 32 mois de réclusion par un tribunal de la province du Shaanxi (nord) pour avoir profané des tombes de femmes afin de les revendre en vue d’unions posthumes, a précisé le journal les Nouvelles du soir de Xian.
Ils ont été reconnus coupables d’avoir « dérobé des corps de femmes et, après les avoir lavés et fabriqué des faux certificats de décès, de les avoir revendus pour un montant élevé », a indiqué le quotidien.
Dans certaines régions rurales du nord de la Chine survit la coutume des « mariages fantômes », qui consiste à trouver un « conjoint » décédé à quelqu’un qui est mort alors qu’il était encore célibataire. Le « conjoint » est enseveli auprès du célibataire décédé.
Lire la suite de l’article sur Métro France
- Vous devez vous identifier ou créer un compte pour écrire des commentaires
-
Envoyez cette page à un ami