Face à la pollution, pouvoirs locaux, entreprises et touristes sont obligés de prendre des mesures. Certaines sont pour le moins surprenantes.
Hong Kong a été touché la semaine dernière par un pic de pollution provoqué par la tempête tropicale provenant de Taïwan qui a fait stagner les gaz polluants.
Conséquence: la ville s’est retrouvée sous un épais nuage, obligeant les touristes à recourir à un trompe-l’oeil pour pouvoir poser devant le panorama. Aussi risible soit cette démarche, elle est préoccupante.
La semaine dernière, les autorités ont été contraintes de déclencher une alerte sanitaire, conseillant les personnes souffrant de troubles respiratoires ou cardiaques de rester chez elles.
Pour limiter les émissions des entreprises et des véhicules, le gouvernement a lancé un vaste plan de plus de dix milliards de dollars hongkongais (975 millions d’euros) de subsides. L’objectif: remplacer les véhicules équipés d’un moteur diesel ou réduire leur durée de vie pour combattre une pollution responsable de 1.600 décès prématurés sur les six premiers mois de l’année.
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