Notre premier article sur l’affaire Philippe Richard au Lycée français de Pékin a suscité beaucoup de réactions. Où en est la situation aujourd’hui?

Il y a un peu plus d’une semaine, Stéphane Sachet, le proviseur a annoncé aux parents, après une longue discussion dans le froid, la décision de non-renouvellement du contrat de l’instituteur.
Philippe Richard en poste depuis plus de 20 ans ne pourra donc plus enseigner à la rentrée à Pékin, mais il reste à l’Education nationale et pourrait donc retrouver du travail en France.
L’incompréhension est grande chez les parents qui ne comprennent pas ce qui est reproché à l’instituteur.
Stéphane Sachet tenu au devoir de réserve ne peut donner plus d’explications et il a fallu attendre plusieurs jours pour qu’il puisse communiquer officiellement.
Ce mercredi, il nous a reçu dans son bureau: « C’est une procédure exceptionnelle et rare, motivée par des éléments professionnels avérés et sérieux. Je ne peux pas communiquer les motifs pour des raisons déontologiques. Ce qui malheureusement donne lieu à une suspicion. C’est difficile pour tout le monde mais tout a été fait pour ne pas en arriver là. Il faut relativiser, il n’y a pas de sanction, pas de jugement, pas d’interdiction d’enseigner et il peut travailler en France »
Mais en une semaine la situation avait évolué car Philippe Richard qui devait rester à son poste jusqu’à la fin de l’année est en arrêt maladie depuis lundi.
Une réunion tendue
Une réunion proposée par l’école lundi soir a rassemblé les parents dans une salle de l’école maternelle.
Ils se sont assis en face d’une brochette administrative: Stéphane Sachet, Jean-Paul Dubois ( directeur du primaire), Anthony Chaumuzeau ( Conseiller culturel), Valérie Baraben ( Conseillère adjoint de coopération et d’action culturelle), la remplaçante de Philippe Richard et Thierry De Wilde, l’Attaché de sécurité intérieure.
La tension était palpable des deux côtés. Thierry De Wilde s’est chargé d’expliquer l’arrêt maladie
« Il nous a expliqué que suite à une ‘plaisanterie menaçante’ proférée vendredi dernier par Philippe Richard, deux parents sont venus à l’ambassade exprimer leurs craintes pour leurs enfants. Selon Thierry De Wilde, l’instituteur aurait dit ‘si c’est comme ça il ne me reste qu’à m’enfermer dans ma classe avec les enfants’ ce qui a justifié la convocation de l’instituteur et sa mise en arrêt maladie jusqu’au 15 mars. Mais il nous a dit aussi que l’arrêt sera de toutes façons reconduit jusque fin juin. » explique une maman.
« Thierry De Wilde nous a dit: ’nous sommes en Chine, un professeur qui s’enferme dans sa classe est considéré comme un preneur d’otages et pour les flics chinois, il n’y a pas d’autre solution qu’une balle dans la tête ‘ et que donc pour éviter ça et pour le bien des enfants, il n’y avait pas d’autre choix que de le mettre en arrêt maladie, ce qu’a fait le médecin de l’ambassade » poursuit-elle.
« La discussion a vite tourné au dialogue de sourds: d’un coté nous voulions savoir comment nous nous en étions arrivés là, qu’est ce qui était réellement reproché à Philippe Richard dans ce dossier top secret, si Philippe Richard avait vraiment menacé de se suicider comme l’a dit à un moment Thierry De Wilde, comment ils pouvaient savoir que l’arrêt maladie serait reconduit jusqu’à la fin de l’année et de l’autre, des gens de plus en plus mal à l’aise – certains n’ont meme pas ouvert la bouche – qui ne pouvaient dire autre chose que ‘tous les enseignants nous soutiennent’, ‘ nous ne pouvons vous dire ce qui est reproché à Philippe Richard’, ‘les parents ne peuvent pas évaluer la qualité d’un enseignant’, ’nous n’avons pas à mettre sur la place publique le fond de l’affaire’ » regrette un père d’une ancien élève de l’instituteur.
« Nous étions très émus, certains d’entre nous, avions du mal à ne pas pleurer. D’abord parce que nous pensons que tout cela aurait pu être évité et que Philippe Richard est un enseignant exceptionnel dont nos enfants auraient pu encore profiter, ensuite parce que c’était extrêmement violent d’entendre tout ça: ‘balle dans la tête’, ’suicide’, ‘arrêt maladie’, ‘c’est pour le bien de tous’, ‘vous ne pouvez pas comprendre’, ‘il a fait quelque chose de grave en début de l’année mais on ne peut pas vous dire quoi’. Il y a eu une vraie cassure ce soir. Les enseignants ne se sont pas exprimés mais je serais à leur place, je me poserais des questions, s’il suffit qu’un parent les dénonce pour se retrouver en arrêt maladie de force… » s’exprimait avec émotion un autre père.
Face à cette émotion, difficile pour l’administration d’expliquer sa position. Anthony Chaumuzeau l’a fait comme il l’a pu : « Les faits sont avérés et graves. Après ce qui s’est passé en septembre, nous devions réagir. Cette situation n’a pas été provoquée par l’administration qui n’a pas poussé Mr Richard à la faute. Mr Richard s’est placé en totale contradiction avec le service public et sa politique de non-discrimination. La procédure a été totalement respectée. Mais nous ne pouvons faire état de ce qu’il s’est passé. Les faits sont graves mais il n’y a pas de sanction disciplinaire et il n’y a pas de radiation ».
Si cela ne peut être dit officiellement, ce qui est reproché à Philippe Richard concerne l’accueil d’un enfant handicapé dans sa classe.
« J’ai eu peur de faire des bêtises car je n’ai pas été formé pour ce genre de situations. Il n’était pas question pour moi de refuser qui que ce soit mais d’être bien informé sur la situation. D’ailleurs l’enfant est toujours dans la classe et ce depuis le début de l’année. » a-t-il expliqué à ALC. Pas de discrimination selon lui mais un règlement de comptes de sa hiérarchie.
Une explication réfutée par Stéphane Sachet « il n’y a pas de problème entre la hiérarchie et Mr Richard ».
Les craintes des parents
« Je me suis rendu chez le médecin de l’ambassade comme l’a exigé ma hiérarchie car si je refusais, j’étais ‘dispensé d’enseignement’. Il m’a demandé comment j’allais, j’ai dit bien. Il m’a demandé si j’avais l’impression d’être suivi dans la rue, j’ai dit non. A la fin de l’entretien j’ai du signer l’arrêt maladie qui indiquait que c’était fait ‘ à la demande de l’intéressé’. C’est faux et je vais bien » indique Philippe Richard à ALC au téléphone.
Mais un pas a été franchi: l’équilibre psychologique de l’instituteur a été mis en cause et personne ne peut prendre le risque de faire courir le moindre danger aux enfants.
« Je ne le connais pas et je ne suis pas médecin mais s’il revient à l’école, je retire mon enfant » indique un maman inquiète.
« Il ne veut évidemment rien faire de dangereux mais cette situation montre encore une fois l’incapacité des uns et des autres de calmer le jeu. Et comment voulez-vous vous battre contre une décision administrative aux motifs inconnus, contre un arrêt maladie et contre des rumeurs qui deviennent de plus en plus effrayantes ? Mais nous pouvons exprimer calmement notre désaccord contre une décision que nous considérons comme injuste et qui dépasse cette histoire d’ailleurs puisqu’elle met en cause tout le fonctionnement du Lycée, non ? » se demande une autre maman.
« On est en Chine, c’est dangereux d’exprimer notre désaccord vendredi matin et si la police intervient ? » s’inquiète une troisième.
« Moi ce qui m’inquiète, je vous l’avoue ce n’est pas la police chinoise évidemment, c’est vraiment absurde d’agiter cet épouvantail, mais c’est d’être pénalisé dans ma demande de bourse. Nous ne pouvons pas nous permettre de ne pas l’obtenir alors meme si je ne suis pas d’accord avec ce qu’il se passe, je ne peux pas l’exprimer à cause de ça » explique un père.
« Contrairement à ce qui dit le proviseur nous ne sommes pas d’accord avec ce qu’il s’est passé. Mais ce n’est pas facile de s’exprimer et de trouver une voix commune car les intérêts des uns et des autres sont différents. Mais je peux vous dire que l’ambiance n’est pas bonne et que nous allons nous réunir pour en parler » témoigne une enseignante.
Une « action calme et symbolique pour exprimer l’incompréhension face à la situation» est prévue ce vendredi matin au Lycée français de Pékin.
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Quel déballage de bétise… Sanlitun, le petit village gaulois où on se passionne pour l’évènement qui trouble la petite vie tranquille du lycée français. Le midi au Petit Paris j’imagine qu’on se souffle les derniers rebondissements de l’affaire et qu’on lance des regards suspicieux aux tables d’à côté…
Ce Philippe Richard devrait avoir un peu de dignité et d’amour propre. Dans le privé les mutations au goût amer ça se passe tous les jours, et on se met pas en grève ni ne proférons des menaces de prise d’otages pour autant. Un peu de classe et de maturité au lieu de nous étaler ses problèmes personnels. Et aujourd’hui la Chine qui prend tout ça tellement au sérieux… j’aime bien le père qui a peur des représailles et de perdre sa bourse, on tient un truc là, la pression des tout-puissants sur le petit peuple. Allez-y les gars, le Pulitzer est dans la poche.
C’est du lourd en effet !
ALC est donc tombé aussi bas? Ou alors n’ai-je pas saisi la portée mondiale et l’horreur de l’affaire Richard, qui relègue les tracasseries de Liu Xiaobo au rang d’anecdote !
Quel nombrilisme franchouillard affligeant…
Je ne me prononcerai pas sur le fond, mais un peu de raison quand même : il ne s’agit que d’une mutation de quelqu’un qui bénéficait d’un joli statut depuis des lustres, pas d’une mise à la rue, pas d’une condammation à mort !
Que cela doit dommage, peut-être. Que cela soit contestable et contesté, pas de problèmes non plus. Mais si l’administration a fait des abus de pouvoir, il y a des syndicats, des prudhommes et des tribunaux pour gérer cela. Et la jurisprudence est remplie de cas fonctionnaires gagnant contre l’arbitraire de leur administration, quand c’est le cas.
Et si des parents veulent le soutenir, c’est très légitime et ils peuvent écrire des lettres de soutien pour son dossier.
Mais pas besoin de prendre le monde à témoin comme cela, d’en faire une affaire d’Etat ! Quelle indécence, quelle perte de repères.
Mais bon, sans doute a-t-on les grandes causes que l’on mérite.
Electron, tu vas reprocher à ALC de ne pas assez parler de Liu Xiaobo ?
info zero zero zeroooooo…… cocoricooooooo………….
ALC qui fait pas qu’un mais 2 articles sur cette personne directement en première page avec un titre digne d’un thriller américain: quelle grosse blague…
vive la non information sur la chine…
aujourd’hui les potins des franchouillards de pékin serait plus propice comme nom de site.. cette info est pas digne d’un fait divers d’un mauvais journal local… A quand le prochain gros titre: jean moncul a manger une pomme???
Bonjour à tous,
calmez vous, arrêtez de surenchérir à chaque article d’ALC sur Philippe RICHARD.
Philippe RICHARD a donc 4 mois de potentiels arrêts maladie pour analyser sa situation et décider de son avenir en Chine ou en France mais pas au LIFP.
Et vous parents, vous êtes rassurés l’Administration a nommé une remplaçante Mme DELAHAYE, jusqu’à la fin de l’année scolaire.
Vos enfants ont donc une enseignante et sont en « sécurité ».
Alors lisez mais ne commentez plus,
c’est le mieux que nous pouvons tous faire dans l’intérêt de tous et pour retrouver la sérénité.
Sur le fond, vous avez sans doute raison, wilouwoua, mais l’on se demande qui a lancé ces absurdes gesticulations….
Et ne boudons pas notre plaisir ! Ce récit d’Aujourd’hui la Chine est captivant. On y trouve tout, du suspense, de la peur et des larmes. La bassesse et la grandeur de l’âme humaine. Le glaive des puissants et la fronde des modestes…
Franchement, on n’avait jamais rien écrit d’aussi beau et de grand depuis « La guerre à Shanghai » d’Albert Londres… (lol, comme disent nos enfants !)
c’est quoi aussi cette histoire de père : le père qui a peur que son dossier ne soit pas accepté pour une bourse, c’est révélateur de la mafia qui règne dans votre milieu de cocoricos…….
normalement, les bourses ne sont elles pas être attribuée sur des critères objectifs de revenus??? rien a voir avec le reste donc………… objectivité de l’article zéro, clarté des infos zéro, clarté des intervenants ZÉRO …
Je crois simplement que l’un des membres de fan-club de M. Richard travaille à ALC et se sent obligé(e) de faire partager au monde son indignation.
Alors forcément, dans ces cas-là, l’objectivité, ça passe en second …
En tout cas, voilà qui reflète les interrogations et la perplexité des « usagers » du LFIP, et la légitime inquiétude des parents devant l’escalade de l’affaire. Evidemment, l’école ne peut pas juridiquement communiquer sur le fond du dossier, évidemment l’instituteur pourra contester la décision en suivant la procédure normalement prévue (recours devant le tribunal administratif), oui sur le papier et dans l’absolu un instituteur détaché n’a aucune légitimité à prétendre au renouvellement de son contrat; mais ce qui est ici contestable et contesté, c’est le lien direct qui est fait (par sa hiérarchie) avec une supposée faute (son comportement que cette administration qualifie de discriminatoire); et c’est surtout la méthode appliquée et les moyens employés depuis le début de cette affaire par l’administration qui pose question, des insinuations sur la gravité de la faute qui ont jeté le trouble… Certains parents et enseignants souhaitent exprimer leur incompréhension face à cette situation qui a dégénéré, en se rendant demain vendredi , sans perturber la tenue des cours à 8:15 devant l’école maternelle. Heureusement que cette liberté-là, on l’a!
Ca n’existe pas l’objectivité… Visiblement dans cette affaire il y a les pour et les contre, et ils se sentent tous très objectifs.
Ce qu’on peut dire, c’est qu’un lycée de province ne pourrait pas être géré comme ça. N’importe ou, les parents ont un rôle, la presse locale raconte ce qui se passe, etc. Les lycées français de l’étranger, et les diplo souvent, vivent dans une bulle, en dehors des réalités. Un instituteur présent depuis 20 ans est en arrêt maladie diplomatique et les parents d’élèves en ébullition : on ne peut pas vraiment dire qu’un génie a géré cette histoire.
La direction de l’école ne se sent bien entendu pas responsable. Ils ne sont responsables que des bonnes nouvelles. Là, c’est pas de leur faute. Moi je pense que dans une organisation bien géré, ce genre de bordel entrainerait des conséquences pour les dirigeants.
Enfin, pour le rôle joué par ce site, c’est sur, ca fait des histoires un peu minables. Mais je remarque que jamais un article n’avait reçu autant de commentaires. C’est donc qu’il existait visiblement un besoin d’information et de débat. Ca serait bien d’élever un peu le débat dans ces colonnes. D’avoir des articles d’une meilleure hauteur de vue.
Bref, ça serait formidable qu’Aujourd’hui la Chine parle de l’action de la mission économique pour aider les jeunes entrepreneurs français à s’installer en Chine. Des initiatives de l’ambassade pour venir en aide à Liu Xiaobo et aux dissidents menacés. Du courage des enseignants du lycée français qui utilisent leur temps libre pour propager la culture française en Chine.
Mais hélas, la réalité de la France en Chine, c’est d’abord cette ridicule histoire Richard. Et ce qu’on lit ici est à notre image.
Oui, Yann, la télé-réalité, cela fait de l’audience aussi. Est-ce que cela tire vers le haut???….
Bon en ce cas, attendons avec impatience la volet 3 d’ALC sur ce sujet de la plus haute importance, avec un titre du genre « J’accuse », afin que cette Affaire rentre définitvement dans l’Histoire par la grande porte journalistique…
Mais je rêve !
Maintenant on a un nouveau coupable : ALC !?
Alors un site d’actualité francophone sur la Chine n’a pas le droit de faire un article sur une histoire qui touche la communauté française de Pékin ? Et qui visiblement la touche largement, au vu des réactions ! Mais alors que faites vous sur ALC si vous êtes surpris de voir, de temps en temps, des articles qui parlent des français en Chine ?
C’est désolant. Alors après P. Richard, l’administration, les représentants, …, maintenant c’est ALC le coupable ?
Je pense que les gens parlent de ça, mettent des commentaires (vous en mettez pour critiquer mais j’observe que vous venez quand même ici lire les articles et mettre des commentaires) car il y a un malaise énorme dans cette histoire qui ne sent pas bon du tout. Et les questions qui tournent autour sont naturelles. Pour moi ça ne reflète pas une querelle de chapelle (les pour ou contre) mais ça montre qu’une administration est en train de détruire un homme (quand je pense que certains ont parlé de « balles dans la tête », d' »immolation », d' »attentats », mais on est où ?) et que ceux qui cherchent à comprendre n’ont que des réponses incohérentes et floues de cette administration. Comment ne pas se sentir mal à l’aise ? Pour moi c’est un vrai problème.
Ce qui me surprend c’est à quel point les gens acceptent comme ça une décision. Le nombre de remarques que l’on a eu du genre « mais pourquoi vous acharner, ça fait 22 ans qu’il est là », « c’est comme ça, on ne va pas le plaindre », … je trouve ça triste.
Quelque soit le fond, la forme est scandaleuse, l’attitude lu lycée inadmissible et je trouve ça normal (et heureusement) que des personnes se bougent, pas seulement pour soutenir Philippe Richard, mais tout simplement pour dire qu’on ne peut pas, impunément, faire les choses n’importe comment et les faire comme ça s’est passé.
Un proviseur qui se permet de mentir aux parents (« je ne sais pas quand la décision sera prise » alors qu’il a déjà eu la feuille signée), de s’appuyer sur des bruits de couloirs (« les syndicats disent ceci cela dans mon bureau »), une lettre de non renouvellement non justifiée, apportée en plein service, …, je suis désolée, ces méthodes ne sont pas correctes. Et heureusement que certains ne ferment pas les yeux dessus.
Je suis outrée et scandalisée d’avoir pu lire des commentaires stupides (cf autre forum où il est question d’immolation, d’attentats, …). C’est n’importe quoi.
Est-ce honteux de trouver qu’un procédé n’est pas conforme ? C’est tout simplement ce que les « défenseurs » disent : que les choses ne sont pas faites correctement et que ça laisse la porte ouverte à toute interprétation. Selon moi la responsabilité est donc en premier lieu à la direction d’avoir mis des formes aussi peu correctes, et en second lieu à tout ceux qui enveniment et polluent le débat avec leurs interprétations personnelles (« il a menacé », …) au lieu de se tenir aux simples faits ! Ouvrez les yeux et observez qu’il y a un gros vice de forme et qu’on est en droit de le contester, tout simplement !
@laowai, cette histoire de père, c’est justement ce qu’on dénonce. Bien sur on est en droit de s’exprimer et de donner son avis, en théorie. Mais cette histoire a un amer goût de règlement de comptes et vu sous cet angle, on peut en effet craindre des conséquences de ce type (suppression de bourses) si on pose des question dérangeantes. Je pense que l’administration entretient ce climat car elle ne nous retourne que des incohérences.
Je suis pas du tout d’accord avec les critiques sur l’opportunité de ce débat.
Bien sur, vous avez raison de souligner que la situation de Liu Xiaobo est infiniment plus précocupante que celle de PR.
Je ne peux pas non plus vous contredire sur le fait que contrairement au sort de PR, l’attribution du Prix Nobel de la paix a été un événement majeur de ces dernières années (sauf pour le Président français qui lui semble ne pas l’avoir remarqué, mais je m’éloigne…).
Cependant il me semble aussi que l’indifférence face aux décisions injustes et infondées de l’administration est le plus court chemin vers l’acceptation d’un Etat autoritaire.
Je remarque d’ailleurs que les expliquations du gvt chinois à son peuple et celles de l’administration du Lycée français à ses usagers offrent quelques similitudes. On pourrait les résumer un peu comme ça:
« le coupable a fait des choses très graves, qui vous mettent en danger… Mais on ne peut rien vous dire de plus ».
@ Lafcadio :
L’indifférence est nocive, c’est sûr, mais quand on s’est renseignés et qu’une décision nous semble fondée et justifiée, doit-on continuer à réclamer la tête du proviseur parce qu’elle ne nous plaît pas ?
Il faut quand même souligner qu’il existe des recours dans le cas Richard.
Comme le précise Electron, plusieurs instances existent où il pourra se faire entendre.
Pour les parents également, s’ils le souhaitent et pensent sincèrement leur démarche légitime, ils peuvent s’adresser au Ministère. Mieux, ils peuvent retirer leurs enfants du LFIP, et trouver un établissement où ils seront écoutés.
La différence, c’est qu’on a la choix.
Voilà pour la forme.
Pour le fond, il serait bon de ne pas prendre cet article à charge pour argent comptant. Sur place, il n’y a guère qu’Helene et le (ou la) journaliste d’ALC qui persistent à « ne pas comprendre », en s’attachant aux erreurs de M. Sachet (« à telle heure il a dit ça, à telle autre, autre chose : il MENT, vous voyez, c’est donc un complot ! ») tout en ignorant éhontément les éléments de réponse donnés.
Un commentaire présentant un mail où M. Richard reconnaissait ce qui lui était reproché a ainsi été supprimé ; les menaces qu’il a proférés sur « le ton de la plaisanterie » ne sont jamais mentionnées car « pas prouvées » (même si ce sont 2 parents qui les ont rapportées, mais qui sait, ces parents font peut-être partie du complot ?).
En fait c’est simple : il faut accorder le bénéfice du doute en toute chose à M. Richard, parce qu’on nous l’ordonne, mais il est impossible de concevoir que l’administration puisse faire preuve de bonne foi.
Précisons que les défenseurs de cette cause ont pour la plupart raccroché les gants parce qu’ils ont eu plus de réponses qu’ils n’en souhaitaient (cf Elpato).
Mais quelques autres ne peuvent apparemment admettre qu’ils se sont trompés.
Un dernier rassemblement était programmé ce matin devant la maternelle, je me demande combien de personnes ont rejoint Hélène 🙂
Merci Dong Fangjian d’avoir décidé à ma place des raisons de mon ‘raccrochage de gants’. Et aussi d’avoir mal interprété ma cause!
J’ai bien admis que les menaces que M. Richard aurait proférées ne sont pas admissibles. Relisez mon dernier commentaire sur l’autre fil. J’ai bien dit que c’est maintenant à lui de prouver qu’il n’a pas commis cette faute et que il devra probablement continuer son chemin hors du LFIP. Autant que je regrette que celà se passe ainsi, autant que il faut reconnaître sa faute et en accepter les conséquences.
@ dongfeng
Je ne peux que partager votre avis sur le danger potentiel que représente désormais PR s’il a vraiment tenu le propos qu’on lui prête.
Mais il ne me semble pas très fondé de brandir cette mauvaise plaisanterie de PR pour justifier la décision de le renvoyer en France alors que c’est cette même décision qui est la cause de la mauvaise plaisanterie.
Si la situation actuelle est devenue ce qu’elle est c’est bien parceque la direction de l’établissement a choisi de se séparer de PR, et sur cette décision là il n’existe aucune explication (à moins que les explications n’ait été harmonisées par ALC 🙂 ).
Donc jusqu’à preuve du contraire, cette décision de ne pas renouveler le contrat de PR me semble injuste et infondée.
Concernant la décision de non-renouvellement, ce qui est intéressant, c’est que tous les mails de soutien (et les 2 articles d’ALC) mentionnent vaguement une histoire d’enfant handicapé qui serait à l’origine de tout cela, sans jamais préciser ce qui est exactement reproché à PR.
En revanche, à la mode des médias chinois, on réfute tout de même ces accusations fantômes qui ne sont nulle part formulées – ce qui a pour principale conséquence d’entretenir le malaise et la confusion.
Un commentaire avait été posté (par un certain Fan Feng il me semble) qui détaillait les différents points reconnus par PR : si mes souvenirs sont bons, il aurait en résumé refusé de participer à plusieurs réunions visant à préparer l’équipe pédagogique à accueillir l’enfant en question, alors que ces réunions avaient été plusieurs fois reportées à sa demande expresse.
Il aurait également envoyé un mail très intrusif aux parents de l’enfant, demandant des détails médicaux mais pas seulement (je crois que c’est ce dont il se défend en parlant « d’être bien informé sur la situation »).
Je précise par ailleurs que pour autant que je le sache, les parents de l’enfant étaient finalement satisfaits de PR et qu’ils n’ont jamais demandé qu’il soit sanctionné. En revanche, l’administration a peut-être trouvé anormal qu’un instituteur fasse preuve d’autant de mauvaise volonté, alors que c’était l’accueil d’un enfant en situation difficile qui était en jeu ?
Je me range totalement derrière l’avis d’Hélène.
anu
Merci !
Dong Fangjian, à partir d’une personne qui décroche, vous faites une généralité ?
Je suis désolée, je m’en tiens aux faits : pas d’explications, pas de preuves, une méthode douteuse, des justifications absolument confuses (à l’inverse de ce que vous dites), et une situation infernale pour l’intéressé depuis ce « congé maladie » de lundi !
Si vous acceptez les justifications de l’administration, si elles vous semblent cohérentes, c’est votre problème, mais ne me donnez pas de leçons si je me permets de les trouver plus qu’insatisfaisantes.Et d’une manière plus générale, il et important de montrer qu’on ne fait pas n’importe quoi avec le personnel, qu’on ne peut pas, malgré les raisons, se permettre certains comportements. Si personne ne s’en offusque, alors ça se reproduira dans un autre contexte et je choisis de ne pas l’accepter.
Merci à Hélène d’élever la voix et de ne pas accepter une decision que l’administration s’obstine à ne pas vouloir « justifier »… heureusement que des voix s’élèvent et que les dos refusent de se courber.
C’est une histoire bien triste, dont il faut evidemment en parler et heureusement qu’ALC le fait …
anu
Faut bien reconnaitre que cette histoire rend maboul… Bon pendant ce temps là, les Chinois préparent la révolution de jasmin, c’est peut-être plus important, non ?
« Commentaire », j’adhère, comme j’adhère à ce qu’avait écrit Hélène.
Il est encore temps de trouver une digne sortie de crise.
S’il y a des grandes révolutions, les petits mouvements n’en ont guère moins d’importance…il me semble qu’il faut savoir souligner les injustices, avoir le courage d’en parler et de demander des clarifications.
anu
« commentaire » avait fait un long texte, fort intéressant, très bien fondé et documenté, posant les bonnes questions et expliquait, droit à l’appui, que si la situation était celle qu’elle est, c’était avant tout de la responsabilité de ceux dont le travail est de gérer l’établissement, les relations avec le personnel, … C’est eux qui portent la responsabilité de la désastreuse publicité qui est faite du LFIP et c’est à eux de trouver une sortie qui satisfasse tout le monde, sachant que les « défenseurs » de Philippe Richard sont motivés pour faire valoir tous ses droits.
J’adhère.
A nouveau, je me range derrière l’avis d’Hélène; il y a « crise » , il s’agit maintenant de gerer celle ci avant que le climat ne dégénère totalement., il est toujours temps de re examiner une situation et que chacun endosse ses responsabilités.
anu
Selon une information proche de la source, l’intéressé aurait en effet dit, sur le ton de la plaisanterie : « si c’est comme ça il ne me reste qu’à m’enfermer dans ma classe » mais, à l’inverse de ce qui est écrit, il aurait précisé « sans les enfants », prenant conscience qu’il se pourrait éventuellement que ces propos de (mauvaise) blague soient mal interprété étant donné le contexte extrêmement tendu à cette période là (contexte rendu tendu, rappelons le, par l’attitude déroutante de la direction).
Bien entendu, principe de précaution, sécurité, …, je comprends. Mais, rassurez moi, c’est bien normal qu’une personne soit mise en arrêt maladie sur la base de dénonciations dont a priori il n’y a de traces écrites et signées nulle part ? C’est bien normal, aussi, qu’à partir de ces récits dont il n’y a pas de traces, les agents de l’ambassade parlent de « balles dans la tête, prises d’otages, … » ? C’est bien comme ça que ça marche en France, hein ? Rassurez moi svp, dites moi que tout cela est bien légal.
Pour ma part, j’ai trouvé certaines personnes un peu pâles ces temps ci. A qui dois-je en parler à l’ambassade aussi en ?
mais on rêve ! ?
donc il n’y aurait aucune preuve tangible, uniquement des « on dit que », il paraitrait que M. Machin a fait ci, dit cela » etc…
Oui, si des « personnes sont pâles », inquietons-nous ! que fait la police ?
anu
Concernant le repostage du long article de « commentaire ». Avant que ne disparaissent ce texte et une réplique très rapide accusant l’auteur d’être Philippe Richard et d’aimer de trop les majuscules, pourrait-on confirmer que « commentaire » est nullement Philippe et n’est pas un qq’un qui repond un texte rédigé par lui. Ce texte est effectivement fort intéressant et mériterait que certaines des remarques soient amplifiées car elles contredisent les propos de M. Sachet, propos qui sont incontestables dans leur véracité et dans le plus pur droit Administratif, ou bien?
C’est du James Bond cette histoire!!!
ou alors OSS117 – a vous de juger (…enfin…non…pas de juger,eu égard aux respect inconditionnel des droits fondamentaux les plus elementaires des libertes essentielles de la personne).
(desole, je me suis lache)
Cette histoire reflète surtout le poids et les dérives de l’administration (qui est capable de bien des choses) et en tant que citoyens nous sommes en droit de ne pas accepter sur un plateau toutes ces décisions émanent du service public.
Dura lex, sed lex, comme disent les Grecs, hélène…
Pour ma part je ne suis pas certaine, loin de là, que tout ait été légal, du début jusqu’à la fin (par ce qu’à justement dit « toutelalumiere »)
Ce qui est certain dans cette affaire c’est que rien n’a été clair et « hélène », « toutelalumière », ainsi que « commentaire », ont posé des questions interessantes et relevé des irrégularités sur lesquelles il serait utile de revenir … rien que pour essayer de comprendre et de retablir un peu de vérité dans une histoire trouble en beaucoup d’aspects;
anu
@wilouwoua merci.
Bon, je pense que ya comme une impasse qui s’est formée – le refus absolu de M. Sachet et des autres de discuter du fond de l’affaire, le refus absolu de M. Sachet de donner une voix aux parents (on n’a aucun droit de demander tel ou tel prof, nous ne pouvons choisir de la manière dont une école est gérée etc..) et le refus absolu selon vous de discussion avec les syndicats et même d’enlèvement du droit des syndicats de valablement représenter M. Richard, si j’ai bien compris?
Le sentiment de mon côté, en tant que parent, non français, employé local, est que je n’ai pas de voix, et aucun moyen de dire (autre qu’ici, et franchement, n’est-ce pas une perte de temps?) que je trouve la manière de faire du LFIP indigne de la France et d’un employeur censant représenter une ouverture d’esprit, une recherche, car travaillant dans l’éducation.
Je sais bien que vis-à-vis de mon propre emploi je n’ai aucun droit. Un mois de préavis. Basta. Donc quand on a des droits il est normal que l’on les assume et que l’on les chérit.
Assumer: Si Philippe Richard a réellement commis les fautes et manquements dont il est ‘coupable’, qu’il les assume.
Si la direction elle n’a pas remplis ses devoirs et obligations morales et légales envers M. Richard, qu’elle assume sa responsabilité.
Chérir: De nouveau, si M. Richard est en droit, il devra aller plus loin. Je suis impuissant sur ce point.
Que ce soit les syndicats qui *clairement et sans équivoque* signent une lettre indiquant que leur position est celle du soutien de M. Richard et que il n’y a aucun « dans mon bureau, vous savez » et que elles réfutent absolument tout insinuation que ce soutien ne soit pas complet.
Que le(s) témoin(s) qui aurai(en)t entendu dire « sans les enfants » vienne(nt) de l’avant et indique(nt) clairement que M. Richard n’a jamais fait de menace directe ou indirecte envers les enfants.
Que les parents qui ont entendu M. Richard faire ces menaces et donc se sentent justifiablement menacées, portent plainte, afin pas que leurs noms soient connus, mais que le dossier soit rendu visible car sortant du contôle de M. Sachet et consorts.
Que soit levée le voile du ‘suicide’ – voulez-vous avoir un enseignant se trucider devant vos enfants? Oui, sans doute????
Qu’une réunion de tous les parents ayant des enfants dans la classe de M. Richard se réunissent une fois ces doutes levés afin d’indiquer clairement leur soutien à la réintégration de M. Richard.
Que ceci soit envoyé aux instances responsables en France afin de faire lever Administrativement la sanction contre M. Richard, vu que Administrativement, à Pékin, il n’y a pas d’issue.
Mais en tout et pour tout – je le répète, M. Richard a des droits et des obligations. Messieurs. Sachet et Dubois aussi. Je ne peux pas juger, ni plaider. Juste espérer que cette affaire se termine bien pour le respect d’une l’éducation de qualité comme droit fondamental des enfants et du fait que en tant que parents, c’est nous qui payont pour cette éducation et ceci nous donne un peu le droit de demander à ce que nous obtenions une éducation de qualité, non?
Je viens de perde 30 minutes de ma vie à écrire ceci, et à vrai dire, je me demande pourquoi, qu’est ce que ça va changer dans ce charabia. Sorry.
Ce que je constate :
– Il semble manifestement y avoir des vices de forme
– Les familles semblent motivées pour soutenir P. Richard
– P. Richard lui-même semble décidé à ne pas laisser passer cela.
Du coup, que va t il se passer ? Où tout cela va t il mener ? En justice ? Si c’est le cas, alors tous les intervenants (la direction du lfip, le responsable de la sécurité à l’ambassade, le conseiller culturel, le médecin, …) devront s’expliquer devant un juge et cette affaire se déballera encore plus sur la place publique. Imaginez la publicité sur le microcosme des fonctionnaires français envoyés dans le pays qui est censé être l’avenir, la jeunesse, le dynamisme, …, Tout le monde en sera grandi, à n’en pas douter !
Hélas pour un observateur hors de ce microcosme que semble être le LFIP, la justice semble être la seule issue… Quel gâchis alors que des explications claires étaient suffisantes! Allez je me lance , ou sont parties en vacances les principaux acteurs? en Libye, Tunisie, Égypte,Maroc, sur la place TAM?
L’inspecteur mène l’enquête.
1. mon commentaire du dimanche 27 (entre celui d’Elpato du 26 février qui se proposait de faire le repostage et celui d’Annee du lapin du 28:02 qui l’a lu) dans lequel je repostais celui de « commentaire » à DISPARU pour la 3ème FOIS.
Je vous avais suggéré de faire une capture avant qu’il ne disparaisse de nouveau. Avais-je un présentiment ???
2. Aujourd’hui mardi 1er mars, nouvelles disparitions :
– sur les 8 mails me signalant des commentaires le 28:02 il n’en reste que 7
– sur les 5 mails de ce jour 1er mars, il n’y en a que 2
La suite peut être sur la PAGE 2 qui n’a pas d’onglet pour être atteinte.
Que d’étrangeté, ce forum est-il une « nouvelle version de Professeur Layton » !!!
exact. ALC censure ce forum de discussions…
wilouwoua, il est possible que certains emails soient des spams que ALC enlève à posterieuri, mais il est aussi clair que il y a censure. Cèst ultrèmement dommage car nous ne trouvons pas de terrain neutre pour débattre du problème, si ce n`est en sortant le débat sur un serveur non affililié.
Une idée me vient à l’esprit, faire un sondage surveymonkey pour obtenir une base de discussion. J`y réléchis…
« l’Inspecteur mène l’enquête » ? Quel inspecteur ? De l’éducation nationale ? Si oui, est-il vraiment neutre ? Il me semble que non vu que l’education nationale est mêlée à l’affaire.
Dans ce cas, s’il mène une enquête, il faudrait aussi que la coordination de soutien à P. Richard mène sa propre enquête, et qu’une tierce personne fasse un bilan, avec les 2 rapports !!
Là ça serait vraiment équitable !
tll – non, c’est simplement une expression. Ca veut dire que Wiouwoua a fait une analyse des réponses sur ce forum et conclut que il y a censure ici..
Et hop la, le commentaire de ET Wiouwoua a encore disparu…
Moi ce que je trouve curieux maintenant c’est qu’après le premier article d’ALC sur PR certains ici pensait que c’était PR lui même le commanditaire de l’article et que tout ce qui lui, PR, était défavorable disparaissait et maintenant, ALC censure tout ce qui lui est favorable. Bizarre! Qui a dit bizarre?
Personne ne s’est dit que si ce commentaire était supprimé, c’était peut-être tout simplement parce qu’il fait 3 kilomètres de long, qu’il est illisible et contient son lot de fautes de français ?
si, moi. message inutile et contreproductif.
Mais ne s’éloigne t on pas du débat initial????
@ annee du lapin – Elpato et helene
La censure continue.
Sur les 3 message d’hier 3 mars, 2 ont disparu :
celui de « jupiter » et celui d »elpato » qui nous proposait une délocalisation !!!!
Il reste le 3è de Yunnan impérial.
J’ai envoyé un courriel sur « contact » d’ALC, cette fois-ci je n’ai même pas eu de réponse. J’ai gardé une copie d’écran de ce message.
Par contre « annee du lapin » tu as la côte avec ALC, tu n’es jamais censurée.
comme tu écrivais le 2 mars « bizarre, qui a dit bizarre ».
Je pense que c’est pour nous décourager, et ALC y arrive
car après 7 commentaires le 1er et encore 6 le 2 mars,
il n’y en avait plus que 3 hier dont 1 survivant et 2 aujourd’hui.
Tu vois « helene » ALC n’est pas neutre !
Alors PR coupable ou pas coupable???
Le commentaire qui disparait est toujours sur l’autre article… Curieux non?
Un petit montage, juste pour voir. Désolé pour l’auteur…
TOUT LE MONDE a compris une chose, nous sommes arrivés à un GRAND PROBLEME. Celui qui a enclenché notre mobilisation. Aujourd’hui 18 :30 LA DERNIERE PHASE A ETE BOUCLEE D’UNE MANIERE INCROYABLE, COMME DANS UN FILM DE JAMES BOND : PHILIPPE A ETE MIS EN ARRET DE TRAVAIL FORCE SANS AUTRE CHOIX, SUR DENONCIATION D’UNE FAMILLE QUI AURAIT DIT QU’IL AURAIT TENU DES PROPOS DANGEREUX, …… QUE CETTE DEMANDE FERAIT L’OBJET D’UN ACCORD BILATERAL !!!!!!!! AUTANT VOUS DIRE QUE JE N’EN REVIENS PAS !!!!!!
D’abord, un grand merci aux Journalistes qui placés sous la liberté journalistique, ont effectué un vrai reportage, respectant la déontologie de leur profession, n’ont fait qu’après des interviews contradictoires, que reporter objectivement, sans influence, ce qu’ils ont entendu, vu. C’est donc, du point de vue journalistique, un excellent reportage sur lequel il n’y a rien à dire. C’est important. Et, je conseille bien à tout le monde, pour trouver des issues honorables à cette affaire, de respecter la Presse qui est maintenant largement informée de cette affaire, nationalement et internationalement.
En outre, il est convenable de noter quelques points :
1.- Il est triste d’en arriver là.
2.- Le groupe de familles qui supportent M. Philippe ne le ferait pas si Monsieur Philippe R n’était pas un enseignant hors pair.
Comment peut-on imaginer que des familles ne soient pas conscientes de ce qu’elles font.
3.-L’administration a dit que cela ne concernait pas les familles. Hélas, cette remarque n’est pas acceptable. Du fait de cette remarque, alors qu’il s’agissait d’établir un dialogue positif, nous allons nous en occuper encore plus, courtoisement, mais fermement, dans l’intérêt de nos enfants.
4.- Il convient de rajouter une série de remarques, sur le dossier administratif qui conduit à cette mesure concernant Monsieur Philippe R :
– La vie de Monsieur Philippe est en Chine depuis 22 ans. Il y a sa famille. On ne peut pas enlever un homme à ses racines sans auparavant tenter tout pour empêcher un déracinement.
– Monsieur Philippe R nous a présenté la situation, sans anémosité, avec intelligence, en reconnaissant ses faiblesses liées à l’aspect « pressions » de cette affaire. Il est en pleine possession de ses moyens. Il est normal. Il ne présente aucune caractéristique de troubles. Il est normal. Il n’est ni dangereux pour les gens, ni pour les enfants. Personne ne pourrait dire le contraire, pas même un médecin, …
– La mesure qui le frappe n’est absolument pas proportionnelle à ce qui lui est reproché. C’est manifestement très exagérément excessif, dur, et incompréhensible. Surtout lorsque l’administration ne veut même pas jouer cartes sur table. Car, quand même, c’est vous qui avait instruit ce dossier Monsieur S, puis l’avait fait petit à petit remonter, justifié, poussé auprès du Conseiller Culturel, puis de l’Ambassadeur de France en Chine, puis de la Directrice de l’AEFE, sans jamais tenir compte des compétences professionnelles extraordinaires de Monsieur Philippe R, et surtout de la satisfaction des familles durant 22 ans.
– SUR LES REPROCHES CONNUS qui semblent motiver cette mesure exceptionnelle :
*Vous avancez, Monsieur le S que Monsieur Philippe R n’aurait pas effectué l’accueil idéal d’un enfant. Toutefois, la famille concernée dit qu’elle est parfaitement satisfaite de Monsieur Philippe R, qu’il n’y a noté aucun accident, qu’elle a compris que Monsieur Philippe R ne cherche qu’à réaliser une scolarisation optimisée, que de fait, tout en restant neutre, elle ne comprend pas non plus, cette mesure, son instrumentalisation par vos soins afin d’en arriver à une mesure aussi dure, aussi radicale qui brise la vie de Monsieur Philippe R à jamais. Vous avouerez que cela est plus que curieux. Vous comprendrez donc que les familles veulent comprendre ce qui est difficile à comprendre, car il y a eu la signature d’un très haut fonctionnaire sur un fait qui n’est pas constitué aux yeux des principaux intéressés. Juridiquement, cela s’appelle un faux. Toutes les parties pourraient se retourner contre l’administration. La presse s’intéresse déjà à cette qualification de ce point du dossier.
*L’envoi d’un nombre, certes large de correspondances à la Direction du LIFP, pour des questions professionnelles, même si la forme est parfois un peu absente, car les non-réponses ou les réponses confuses, surtout lorsqu’elles concernent des questions très importantes de la gestion du LIFP comme par exemple la sécurité générale de l’établissement (nous remercions d’ailleurs Monsieur Philippe R de s’y être intéressé, car c’est très important la sécurité des enfants), son image auprès des Chinois. Que ces questions puissent vous déranger L’administration, tout le monde l’aura bien compris. Mais est-ce suffisant pour porter à la Direction un dossier qui va briser la vie d’un homme. Car vous ne pouvez pas dire que c’est l’AEFE qui va décider, vous êtes un cadre de l’AEFE, d’une part, puis c’est vous qui avait instruit le dossier. Si je me gare sur la grande place du centre de Beijing, je sais très bien que ma voiture va être prise, puis que je devrais payer une très grosse amende.
*La publication d’un document, dont Monsieur Philippe R ne connaissait nullement la nature, qui arrive entre ses mains, certes de manière confuse, dans un contexte international mal approprié est-il suffisant ? Ou s’agit-il, encore, de vouloir en rajouter dans son dossier, afin de mieux se débarrasser de Monsieur Philippe R.
Pour très bien connaître l’histoire de votre lycée, le LIFP depuis très longtemps, cette dernière n’a pas toujours vu, tous les incidents faire l’objet d’une transmission de rapports circonstanciés, surtout lorsque que c’était plus grave. La présente pourrait être d’ailleurs, un début de rapport circonstancié opposé, vous concernant. C’est une suggestion que je propose à Madame la Directrice de l’AEFE.
*Demander à un haut fonctionnaire, sans donner à Monsieur Philippe R, la possibilité d’exercer un droit fondamental de défense/de réponse/d’explication, et sur des faits dont nous avons noté auparavant qu’ils posent problème dans leur INTERPRETATION, est-il réellement légal, ou du moins cela ne marque-t-il pas une volonté explicite et expresse de vouloir vraiment briser Monsieur Philippe R, sachant qu’il serait étonnant que vos collègues de rangs supérieur ne jouent pas la logique de corps. Ou ces derniers signent-ils tout et n’importe comment, sans vraiment prendre le recul, des disposition nécessaires. La France qui a signé les Conventions protégeant les individus au niveau de la défense, normalement devrait être en règle avec ça.
*La manière dont la lettre de Madame la Directrice de l’AEFE qui vous a été adressée, a été remise à Monsieur Philippe R, durant sa classe, sans considération des enfants, de la forme, par Monsieur D est honteusement cavalière, dessert gravement l’image du LIFP et de la France en Chine. Ce genre de comportement outrancier, provocant, barbare, inutile, de harcèlement est inadmissible d’un fonctionnaire qui dirige une école maternelle.
*Les « activités extérieures de Monsieur Philippe R, dont certaines que tout le monde connaît (Francophonie, créations musicales, recherches pédagogiques, TV, journaux, coopération, charité, dons, …), dont certaines ont fait l’objet d’une félicitation par le Sénat, d’autres rendant services aux familles, face à une carence des propositions éducatives en périodes de vacances, ne sont-elles pas plutôt des éléments positif, et la preuve d’un engagement fort au service, au rayonnement de la communauté, de l’image de dynamisme de la France en Chine, de l’esprit humain des Français et des Francophones ? Parce que dans toute chose, on peut voir seulement le noir, mais avec un esprit positif, ouvert, constructif, intelligent, d’encadrement cherchant des talents, on peut y voir du rose, des potentiels facteurs de synergies, de développements.
Si des personnes, parce qu’elles sont fonctionnaires, à l’international ne peuvent plus rien faire, doivent tout de suite rentrer chez elles et chausser leurs charentaises et ne plus sortir de leur maison, … il y a un problème légal qui porte encore atteinte, Monsieur S qui représentait le LIFP, aux droits fondamentaux des libertés essentielles des individus, que l’on ne saurait leur interdire ou reprocher, qui de fait concernent les Instances compétentes à l’international pour se prononcer sur ces questions.
*Des actions judiciaires entamées par Monsieur Philippe R sur le territoire chinois, eu égard à une question de « piratage » d’une de ses créations artistiques ne peut pas lui être reproché du point de vue du respect des droits fondamentaux de la personne, dont un des plus important, celui de pouvoir ester en Justice, eu égard à un élément juridique incontournable légal qui est reconnu par le Droit International, les Conventions Internationales ratifiées par la France, que l’administration du LIFP ne peut ignorer, elle qui peut sortir des lois très précises pour qualifier ses interprétations sur des faits accomplis ou non par M. Philippe R : LE DROIT CHINOIS DONNE AUSSI LA QUALITE DE JUSTICIABLE AUX ETRANGERS, légalement installés sur son territoire (c’est une règle du droit positif chinois très ancienne). On ne peut donc pas reprocher ce fait à Monsieur Philippe R, ce serait une violation manifeste grave de ses droits fondamentaux les plus élémentaires, que celui de lui reprocher d’ester en justice en Chine, puisqu’il n’a fait qu’exercer un droit normal de justiciable que la Chine lui reconnaît et lui accorde. Cela, en aucun cas, ne peut porter préjudice à l’image du LIFP en Chine, encore moins à celle de la France dont les plus grands juristes dans son histoire ont reconnu la nécessité, la France deviendrait de fait la risée de la communauté juridique internationale, ni encore moins violer une quelconque « obligation de réserve » qui ne peut nier, dépasser un droit fondamental (« obligation de réserve » en droit administratif français qui pose donc un problème en Droit international lorsqu’il s’agit d’exercer des actions conservatoires). Même, si l’action évoquée ici, était dirigée à l’encontre d’une famille dont l’enfant était inscrit au LIFP. Ou alors, il faut nous autoriser à en parler ici. D’en expliquer les circonstances, de citer les noms. Ce point est essentiel. Il ne faudrait pas que ce soit non plus pour déranger « temporis » une procédure en cours, en extrayant le demandeur du territoire.
*Concernant quelques moments d’absence de Monsieur Philippe R sous le choc d’une telle pression causée par un harcèlement aussi fort, mais sous le couvert de certificats médicaux (dois-je vous rappeler que la maladie est aussi un droit fondamental), il ne serait absolument pas judicieux Monsieur S de les instrumentaliser.
*Le refus de donner le droit de vote aux Syndicats lors de la discussion du cas de Monsieur Philippe R le 10 février 2011 à l’AEFE est une question qui doit être explorée. Afin de se pencher sur la volonté de vouloir boucler un dossier dans un sens, si de telles pratiques sont autorisées, qu’une femme, Madame la Directrice de l’AEFE, peut décider ainsi de la vie d’une personne sur les éléments que l’on énumère, sans donner la voix aux Syndicats, c’est aussi très inquiétant, peut-être aussi des droits fondamentaux.
*Les ratés de rendez-vous administratifs mal goupillés et vite qualifiés de refus de se rendre à un entretien, sont aussi manifestement excessifs.
*Monsieur Philippe R semble avoir été souvent mis en difficulté pour consulter ses dossiers administratifs, et a constaté à maintes reprises qu’ils comportaient des vices. Du point de vue des droits fondamentaux, cela pose problème quant au droit de pouvoir consulter les éléments à charge, qui sont l’apanage de toutes les démocraties. Pourquoi avez vous fait des difficultés à Monsieur Philippe R ?
*Monsieur Philippe R a été scandaleusement insulté par l’inspecteur de l’AEFE, durant 30 minutes, devant près de 20 personnes, devant vous, sans que vous ne leviez le petit doigt. Je trouve ce genre de comportement, d’attitude, comme celui de Monsieur D pour la remise de la lettre, totalement grave, ressortissant du harcèlement, des pressions, de la torture psychologique ou de l’humiliation. C’est donc très grave.
Nous nous arrêtons là, nous ne voulons pas refaire l’article. Mais la mesure est exceptionnelle et très excessive. Les mécanismes de l’administration ont leur logique. Mais la France est un pays d’exception qui a connu tant de changements. La France a la volonté d’exprimer une image de Justice, de démocratie, une image exemplaire pour le monde. Elle n’a aucun plaisir à être la risée
Il faut donc trouver une solution, au plus vite. Une solution intelligente à cette affaire qui va demander de la bonne volonté à tout le monde. De la volonté de reconnaître ses propres erreurs, de vouloir changer l’histoire, d’innover, de trouver une solution inédite dans l’intérêt des familles qui vous le demandent, de l’image de la France.
Voici donc ce que je propose, tout le monde en sortira honoré, plus fort, et un vent nouveau pourra souffler ici, au lieu de maintenir un « sale temps sur le LIFP ». La solution que je propose est la suivante :
Tout cela est rayé d’un trait de plume. Ce dernier portera dorénavant une attention toute particulière aux points sur lesquels il est normal qu’il fasse des efforts.
Ainsi nos familles seront pleinement satisfaites, et tout le monde y gagnera. Je sais que ce n’est pas facile. Mais IMPOSSIBLE n’est pas français.
PS : Monsieur , vous sembleriez avoir dit que les Syndicats ne supporteraient plus Monsieur Philippe R, alors que ce n’est pas le cas. Il serait convenable de ne pas faire courir de tels bruits qui porteraient atteinte à l’image de ces derniers, de même qu’a celle de l’universalisme du syndicalisme français, qui ne sauraient exercer leurs missions, leurs mandats sous la crainte ou les pressions. C’est encore une question de respect des droits fondamentaux.
J’attends….
@ annee du lapin
C’est le week end.
Je pense que ton petit montage va tenir ces 48 heures ou la journée.
« C’est la nnnnnnuit, que les commentaires dis-dis-disparaissent bouh ouh ouh »
@ annee du lapin
Peut être qu’il ne disparait pas, parce que sur l’autre article, nous n’y allons plus !
Mais revenons au fond de l’histoire, qui à n’en pas douter va se réveiller au retour des vacances d’ici une semaine (miser sur les vacances pour calmer le jeu, c’est une technique connue mais qui ne porte pas vraiment ses fruits).
Il y a tellement de questions en suspens.
– Quelle est la faute ?
– Est elle grave ?
– Pourquoi pas une mesure graduée s’il y a eu faute ?
– Pourquoi l’administration est si sur la défensive aux interrogations simples des parents ?
– Pourquoi l’administration n’entend pas les éloges des parents mais entend des bruits disant que le concerné n’est pas bien ?
– La procédure de mise en arrêt est-elle légale ?
– Pourquoi les personnes de l’ambassade parlent de « balles dans la tête », « prises d’otages », … ?
– A qui profite toute cette mascarade ? Au LFIP : surement pas. A l’image de la France : surement pas. Au parents : surement pas. Aux enfants : surement pas. A l’interessé : surement pas. Au remplaçant de P. Richard ? Il n’y est pour rien du tout dans cette histoire, mais éventuellement. Ceci dit jene crois pas à « tout ça pour ça », non. Mais qui donc sort grandi ?
Que de questions …
A Hong Kong,
Les parents ont aussi des avis partagés sur certains instituteurs ou professeurs.
Beaucoup s’accordent pour dire que certains ne sont pas à leur place, comme cette institutrice qui martyrise les enfants depuis des années. Malgré les plaintes des parents, cette femme fait toujours partie de l’équipe pédagogique, car sa méthode d’apprentissage (souvent humiliante verbalement – on n’appelle pas cela du harcèlement psychologique ?) fonctionne.
Et oui, pas un enfant n’osera parler de peur de représailles, quitte à contredire ses parents pour ne pas être stigmatisé. Parce qu’après tout, cela dure depuis des années et les enfants sont « habitués ».
Le système ne changera pas, car cela fait désordre, de se séparer d’un élément que l’on estime.
Je ne sais pas se qui se passe à Pékin.
Mais il me semble, sans froisser personne, qu’il n’y a pas de fumée sans feu, même si parfois la décision semble disproportionnée par rapport aux reproches et erreurs faites.
Au moins votre direction ose prendre des décisions quitte à se mettre une partie des parents et de l’équipe pédagogique à dos.
Année du mouton : je serais en accord avec vous si on nous disait POURQUOI cette direction prend cette décision. Et là oui, si on nous l’expliquait clairement, oui, on pourrait dire qu’elle est courageuse d’agir ainsi.
Mais justement, la direction ne dit rien et pire, les seules infos que l’on peut extraire, des syndicats, des représentants du personnel, …, vont dans le sens d’un règlement de compte orchestré en violant toutes les règles élémentaires du respect à la défense, du débat contradictoire, …
Il n’y a pas de fumée sans feu certes, mais pour ma part, je penche plutôt sur la volonté de suppression d’un élément gênant (peut être maladroit, dérangeant, …), tout simplement, en s’appuyant sur des faits plus ou moins avérés et en essayant de les monter à charge.
La gestion calamiteuse de cette affaire depuis le mois de février, notamment :
– le pseudo arrêt maladie (où on a parlé aux parents de balles dans la tête, de prises d’otages, …) annoncé avec détermination jusqu’à la fin de l’année alors que Philippe Richard est revenu cette semaine
– la discrimination qui a été associée : rumeurs malsaines, la photo de Philippe Richard placardée dans l’établissement pour prévenir les gardiens qu’il est interdit
– la cacophonie qui a régné pour le retour de Philippe Richard : l’administration avertit les parents que Philippe Richard revient alors qu’on ne prévient pas l’intéressé (ou plutôt on le prévient le lendemain à 18h30) qui est pendant ce temps interdit d’école
ne témoigne pas d’une qualité exceptionnelle de gestion de crise. Comme cela a été écrit sur le site de la pétition par une personne :
« Le doute sur l’impartialite des accusateurs de Philippe Richard devient de plus en plus present. Une revision de la decision de non renouvellement est plus que nécessaire. De plus on ne peut pas faire semblant d’ignorer l’ estime considerable que la communaute francophone a pour cet enseignant. »
Bref, « année du mouton », vous parlez de courage de la direction, je veux bien, mais alors que les choses soient faites de manière professionnelle et dans les règles, que l’on ait rien à dire ! Mais au vu de toutes ces confusions, moi, je penche pour le règlement de compte, la suppression d’un élément gênant, au mépris de la qualité de l’enseignement et des règles les plus élémentaires de droit à la défense.
D’ailleurs, je pense que l’AEFE commence à se rendre compte que tout n’est pas clair. De mon point de vue, j’interprète le retour de Mr Richard comme un premier désaveu de l’AEFE envers le LFIP (car la décision de reprise vient de l’AEFE).
J’ai lu avec attention les derniers commentaires et en particulier ceux de Toute la Lumière qui me semble apporter les elements necessaires d’un débat contradictoire, soulignant les nombreux vices de procedures, allant même à évoquer des « faux »; Si c’est le cas, c’est très grave ! et il serait dommageable pour le LFIP que cela s’avère vrai; Donc que le LFIP justifie, explique, apporte les fameuses preuves dont M. S a fait état.
C’est une très bonne chose que PR ait repris sa classe et en effet si cette autorisation vient de l’AEFE , nous avons de quoi esperer en l’avenir …
anu
On espere toujours une reconsideration de cette affaire. Cela serait si bien si ca se terminait bien. Philippe a tant fait pour le Lycee. Merci au Comite de le soutenir avec cette petition succes. http://www.mesopinions.com/detail-petition.php?ID_PETITION=2ae38709d8a94…
Et merci a Aujourdhuilemonde de suivre ce dossier. Beaucoup de parents sont inquiets si Philippe devait vraiment partir.
Pauvre PHILIPPE RICHARD. On espere qu il restera au LIFP. Pourquoi un tel acharnement
@annee du lapin
vous voyez depuis le 5 mars, votre montage n’a pas disparu
Par contre ce qui a disparu c’est un commentaire entre le 19 et 26 mars, (que je n’ai pas conservé),
qui en substance disait « que le poste vacant avait donc été attribué » et faisait référence à un précédent commentaire où figurait la phrase « à qui profite le crime » suite à cette attribution.
A moins que le poste ai été réattribué…. à PR ? qui sait avec l’administration !
J’ai entendu une vague rumeur qu’un autre prof était maintenant sur le siège éjectable. Françoise…( pas retenue son nom,depuis très longtemps en Chine)
Bienvenue dans la vraie vie, ou personne n’est propriétaire de sa fonction…
Désolé Bulgogi, mais votre commentaire est nul et mesquin…
C’est vrai ! Mais plutot juste…
Et où en est-on aujourd’hui (décembre 2011) de ce feuilleton rocambolesque ?
beijingrose