« Ni le ciel ni la mer ne sont une limite. » C’est par ce titre sans fausse modestie que le « China Daily » a célébré, ce week-end, la double performance technologique réalisée par la Chine. Vendredi, un sous-marin de facture chinoise, avec trois hommes à son bord, a atteint la profondeur de 6.671 mètres, pulvérisant le précédent record chinois établi à 5.188 mètres en juillet dernier.
Le lendemain, trois taïkonautes décollaient pour une mission dans l’espace plus aboutie que toutes les précédentes, au cours de laquelle ils devront piloter manuellement un amarrage au module spatial chinois baptisé Tiangong-1 (« Palais céleste »). Une étape considérée comme cruciale dans le cadre du grand dessein que s’est fixé l’empire du Milieu à l’horizon 2020 : avoir a sa propre station spatiale habitée.
Cette mission a été d’autant plus louée par les médias chinois que, pour la première fois, Pékin envoyait dans l’espace une femme, Liu Yang, ancienne pilote de chasse née en 1978.
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