Un marché de 1,3 milliard de consommateurs, dont 175 millions de clients potentiels pour les produits de luxe.
La Chine est l’Eldorado émergent du luxe mondial. L’industrie canadienne de la fourrure part à sa conquête, rejoignant des précurseurs comme Dior, Channel et Louis Vuitton.
Après avoir mis en marché les collections canadiennes aux États-Unis et en Russie, le Conseil canadien de la fourrure (CCF) a basé son offensive en terre chinoise sur un constat fort simple : les » nouveaux riches » chinois se méfient des produits fabriqués chez eux.

» Si on offre un produit importé, on a une importante valeur ajoutée. Si on garantit aux clientes qu’elles ne vont pas se retrouver avec trois autres personnes portant la même fourrure lors d’un cocktail, c’est encore mieux « , souligne Teresa Eloy, conseillère en communications-marketing, chargée par le CCF du branding de la fourrure canadienne et du développement des exportations dans les marchés émergents.
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