C’est une bonne nouvelle pour les adeptes de la médecine chinoise.
Au même titre que le repas gastronomique des Français, le flamenco ou L’art traditionnel du tissage du tapis azerbaïdjanais, l’acupuncture a été inscrite cette semaine sur la liste du patrimoine culturel et immatériel de l’humanité, gérée par l’Organisation des Nations unies pour l’éducation, la science et la culture (Unesco).

Autre pratique médicinale chinoise, la moxibustion est également entrée sur la prestigieuse liste. Selon l’Unesco, les théories relatives à l’acupuncture et à la moxibustion soutiennent que le corps humain représente un petit univers relié par des canaux qui, au moyen d’une stimulation physique, permettent au praticien de tonifier les fonctions autorégulatrices de l’organisme et d’apporter la santé au patient.
La Chine peut également s’enorgueillir de voir reconnue l’une des curiosités les plus courues des touristes visitant la capitale : l’opéra de Pékin. Cet art est, selon l’UNESCO, considéré comme l’expression de l’idéal esthétique de l’opéra dans la société chinoise traditionnelle et demeure un élément largement reconnu du patrimoine culturel du pays.
Le 5e Comité intergouvernemental de l’Unesco pour la sauvegarde du patrimoine immatériel était réuni cette semaine à Nairobi (Kenya) pour enrichir cette liste représentative du patrimoine culturel immatériel de l’humanité, dans laquelle on trouve toute sortes de traditions et de pratiques culturelles représentant l’identité des pays.
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