Le chef doublement étoilé Nicolas Le Bec a annoncé mercredi qu’il vendait ses deux restaurants lyonnais, dont l’un au célèbre chef Georges Blanc, pour s’« expatrier en Chine », à Shanghai, où il ouvrira début 2013 un restaurant gastronomique.
« A 40 ans, je repars à zéro avec une nouvelle phase d’apprentissage », a déclaré à l’AFP le chef d’origine bretonne, arrivé à Lyon en juillet 2000 où il a travaillé pour le groupe hôtelier Sibuet.
« Je vais m’expatrier en Chine, Shanghai est une ville bouillonnante et vivante et j’aime la culture asiatique qui répond à mes attentes », a ajouté cet entrepreneur hyperactif, lui-même marié à une Chinoise de Hong Kong.
Dans son nouveau projet, un restaurant gastronomique de 800 m2 au 4ème étage d’un building du quartier des affaires de Shanghai, il compte « apporter une petite touche asiatique, avec un côté salons privés ».
« Ce que j’ai ressenti à New York dans les années 90, quand j’y ai fait mes classes, je le ressens aujourd’hui à Shanghai avec ses 23 millions d’habitants », a ajouté celui qui reconnaît avoir « du mal à rester en place ».
Retrouvez cette information sur le site du Parisien
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Encore un, attiré comme tant d’autres par le mirage chinois… face à la situation pour le moins morose en France, certains voient (encore) dans la Chine un Eldorado. Ceux qui s’y sont brûlé les ailes ou ont été déçus sont infiniment plus nombreux que ceux qui y ont vraiment réussi. Plus dure sera la chute…
Le pb c’est la situation française. Morose en effet. Et ça n’a pas l’air de s’arranger. La Chine c’est difficile, mais ça permet un espoir que beaucoup ne trouvent plus en France, non ?
se lancer en France aujourd’hui « faut avoir le moral ! »
se lancer en Chine c’est « avoir le moral… »
question d’intonation !
d’ailleurs tout est dans le ton en Chine….
S’il fait comme bcp …
1) il va se faire arnaquer en louant et payant tout 5x trop cher.
2) tomber sur des partenaires qui vont lui pourrir la vie.
3) il n’a que 2 années pour faire son beurre, après quoi … il ne lui restera peut être plus que la gueule pour pleurer …
Rien de sert de courir, il faut partir à point …