Si le monde entier connaît les Oscars, l il n’en va pas de même pour les Coqs d’or, leur équivalent chinois. Le septième art du pays entend étendre son influence, mais il reste pour l’instant incomparable à Hollywood.
Le mois dernier, les dirigeants ont adopté une directive visant à élargir le rayonnement de la culture chinoise, lors du plénum du Parti communiste (PCC).
Pour les réalisateurs de courts ou longs métrages, le carcan imposé par la propagande du Parti et la censure restent d’importants obstacles à surmonter, surtout pour rivaliser avec les superproductions hollywoodiennes. «Vous ne pouvez pas imposer une camisole aux artistes et les faire concourir comme des athlètes. La culture n’est pas monolithique. Elle doit se diversifier», affirme Zhou Liming, un critique culturel.
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Si tous les réalisateurs audacieux sont censurés ( lou ye , jia zhang ke…) et que seuls les nanards à la gloire du PCC sont autorisés, faut pas s’étonner de la fuite des artistes vers l’étranger.
La plupart des films qui pourraient gagner des prix dans les festivals internationaux sont essentiellement financés par des capitaux européens..
C’est bien pour cela que des réalisateurs valables comme Zhang yimou abandonnent le cinéma indépendant pour le film de propagande.