Après Neil Armstrong, seulement onze hommes ont marché sur la Lune et le prochain Terrien à y poser le pied viendra vraisemblablement de Chine, même si d’autres pays asiatiques comme le Japon et l’Inde se font remarquer dans la course à l’espace.
« Les voyages vers la Lune ont toujours eu une dimension de prestige, mais également scientifique. La Lune pourrait présenter de nouveaux atouts avec des forages miniers pour du combustible nucléaire. La Chine ne cache pas son intérêt pour cette éventualité », affirme à l’AFP Morris Jones, un expert australien des questions spatiales.
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Si aller sur la Lune pouvait être industriellement rentable, ou si y mener des activités de recherche avait un rapport qualité-prix acceptable, les Américains auraient continué à y aller, les Russes les auraient suivi et les Européens auraient peut-être réussi à monter un projet commun pour y prendre pied.
Rien de ceci ne s’est passé : la Lune est exclusivement une affaire de prestige, car les faits de la mécanique spatiale sont têtus.