La municipalité de Pékin vient de promulguer une nouvelle réglementation pour les journalistes : désormais, il est interdit de parler aux Pékinois, toute interview réalisée dans la capitale chinoise devra faire l’objet d’une demande d’autorisation préalable. C’est ce que révèle un entrefilet dans le China Daily.
Certains journalistes étrangers ont d’ailleurs été convoqués dans l’urgence par les autorités pékinoises, afin de se voir signifier ce nouveau règlement. Précision des autorités : les autorisations concernent notamment les secteurs de Tiananmen et de Wangfujing. Ce genre de « demande préalable » est mis en place par les autorités chinoises dans les zones sensibles, comme le Tibet ou la Place Tiananmen. Il est difficile alors de voir une demande aboutir…
Une réglementation ad hoc qui souligne la fébrilité du gouvernement de Pékin, alors que de nouveaux appels à manifester sur Wangfujing ont été lancés pour ce dimanche.
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V’la autre chose… On dirait bien qu’ils ont la trouill e!
Une demande spéciale pour Wangfujing ? Comme c’est bizarre… Ca sent le jasmin…
Ce n est pas plus mal. Souvent les journalistes, surtout francais, n ont rien d interessant a demander mis a part les sujets droit de l hommesque bien de chez nous : ces zozos pensent que le salut des Chinois serait de copier la France : comme quoi l epanouissement pour les chinois serait la liberte d expression a la francaise (la liberte d expression inclut evidemment qu il faut eviter de parler librement et dire les verites flagrantes comme quoi les prisons en France sont pleines de musulmans et de noirs).
Beaucoup de journalistes pensent qu il suffit de la liberte d expression a la francaise pour que les Chinois trouvent le bonheur et militent afin qu il se revoltent pour l obtenir. Il est donc normal que les Pekinois les evitent.
C’est vrai. Certains journalistes étrangers sont sales et ont des maladies, aussi. Ils boivent beaucoup d’alcool et disent n’importe quoi. Ils sont en Chine pour promouvoir leurs idées politiques délirantes. Foutons-les dehors, merde !
En fait, je pense que les autorités chinoises ont raisons.Beaucoup de journaleux en mal de papiers et de talent pour décrire les aspects de la vie chinoises préfèrent titiller les sentiments les plus bas de tout un chacun et ainsi avoir de la matière et se valoriser auprès de leur rédaction.Il y a trop de mauvais journaliste.
Idée pour en Direct de Chine et Le Renard : quelles questions vous poseriez, vous, dans la rue, aux Pékinois ?
Toutes questions sans avoir l’arrogante attitude d’une France autoproclamée patrie des droits de l’homme,qui n’est pas une dictature mais où les gens sont parmi les plus pessimistes,qui a une protection sociale la plus envié du monde mais avec déficit abyssal etc…En toute simplicité.
Quand on sait les bêtises que les journalistes peuvent écrire sur la Chine, c’est plutôt une bonne mesure
Ils feraient mieux de faire un truc genre hadopi, où quand un journaleux pose une question à la con à un pékinois, il reçoit d’abord un email d’avertissement, et au bout du troisième, on lui suspend l’accès aux pékinois pour trois mois.
De toute façon, tant qu’il nous reste CCTV et Xinhua pour nous informer en toute objectivité, pas besoin de journalistes…
il faut hélas prendre en compte qu’un journaliste mal informé dit forcément beaucoup plus de bêtises. Cette mesure n’est donc pas bonne pour la Chine.
Ce n’est sans doute pas ce que les journalistes pourrait entendre et reporter qui motive cette mesure, mais plutôt l’influence, volontaire ou non, qu’ils pourraient avoir sur les foules. De ce point de vue, cette mesure est peut-être un mal nécessaire.
Ben oui, il faut que les journalistes et les pékinois apprennent à ce contenter de la propagande du Parti. Tout ira bien, c’est sur…
Oui les Chinois n en veulent pas d une revolution a la Jasmin pour fouttre en l air tout ce qui a ete batit depuis 30 ans. Et ils ont bien raison !
ils sont bien equipes.. http://blogs.wsj.com/chinarealtime/2011/02/26/for-sale-chinese-tech-for-…