Lors des pics de pollution les plus sévères, respirer à Pékin pendant une journée revient à fumer 21 cigarettes. Ce résultat inquiétant provient d’une récente enquête, rapportée par le journal japonais The Asahi Shimbun AJW, sur la pollution de l’air dans plusieurs villes chinoises. Le taux de particules fines mesuré a été converti en goudron de cigarettes. La ville la plus polluée est Guangzhou avec 25 cigarettes.
Ce sont ces particules fines, dîtes PM 2.5 – c’est-à-dire ayant un diamètre inférieur à 2,5 micromètres – qui composent en partie la pollution atmosphérique. Leur taille microscopique les rend particulièrement dangereuses car elles «peuvent être inhalées profondément dans les poumons et absorbées dans les vaisseaux sanguins, provoquants de l’asthme, des maladies cardiaques, et augmentant les risques de mortalité».
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