L’affaire Bo Xilai prend chaque jour une nouvelle ampleur en Chine.
Le Wall Street journal affirme aujourd’hui que Neil Heywood, le britannique retrouvé mort à Chongqing, faisait partie d’un petit groupe d’intimes de la famille de Bo. Il aurait confié avant sa mort à des amis être en possession de documents compromettant sur les affaires de la femme de Bo Xilai en Angleterre. Il avait même donné des instructions, « en cas de malheur ».
Gu Kailai, la femme de Bo Xilai, a été arrêté pour le meurtre du citoyen britannique.
Mais le journal américain affirme que Neil Heywood n’était pas le seul étranger membre de ce groupe d’une dizaine de personne autour du leader du Parti Communiste. Un certain Patrick Henri Devillers. Cet architecte français aurait fait adresse commune avec la société de madame Gu dans la cité anglaise de Bournemouth.
Une recherche sur internet de cet architecte français ne donne aucun résultat, à l’exception de cette inscription au registre du commerce anglais. Le Wall Street Journal n’a pas réussi à le contacter.
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